A la vie, à la mort

Tout d'abord, je tiens à remercier Sally d'avoir créer cette catégorie et aussi aux membres étant pour cette catégorie.
A la suite de ce message, vous aurez mon chapitre I. Trois chapitres sont finis et le quatrième est en route.

Bonne lecture.
Ps: n'oublier pas de commenter.

I

« Le réveil sonna à six heures dix, comme chaque matin, bien que je fusse réveillée depuis plus de dix minutes. Malgré mon volet vert pastel fermé, quelques filets de lumières passent et éclairent le bout de mon lit ainsi que ma moquette. Je me levai et ouvris ma fenêtre. La douce chaleur d’un matin de Juin m’envahit. Je restai un moment debout, figée, me délectant de cette chaleur. Puis j’ouvrais les volets, là la lumière du soleil m’aveugla et me chauffa encore plus. Je me préparai dans un silence de mort puis pris mon sac et, accompagnée de mon frère, je rejoignais puis montai dans le bus scolaire. Alors que je m’étais assise à l’arrière du bus, une voix monta jusqu’à moi :
« Je peux ? »
Je levai les yeux, étonnée, de ne pas mettre trompée de voix : Clément !
« C’est pas réservé malheureusement. Répondis-je glacialement. »
Il s’assied puis continua :
« Alex… »
Je sortis mon baladeur, plaçai les écouteurs sur mes oreilles et mis le son à fond quand il m’arracha mes écouteurs.
« Écoute-moi !
-Et pourquoi le ferais-je ? Tandis que je répondais, je sentis un sourire narquois ce dessiner sur mon visage.
-Je sais, je sais… J’ai été dur tout au long de l’année avec toi mais…
-Non ? Tu crois ? Le coupais-je ironiquement.
-J’en suis désolé, vraiment. »
J’en avais trop écouté et je replaçais mes écouteurs sur mes oreilles.
« Attends !
-Quoi encore ?!
- Tu es libre vendredi vingt-huit ? »
Le vendredi vingt-huit : le bal de promo ! Non il n’osera pas. Alors que j’acquiesçai.
« Je passe te prendre à vingt heure.
-Heu… Non finalement j’ai quelqu’un ce soir là.
-Qui est ce ? »
Le bus s’arrêta et un garçon blond avec des yeux marron monta : C’était Eugène, il était avec moi en troisième.
« Lui !
-Eugène ?
-Oui, oui.
-Arrête de me faire rire, tu n’as pas personne ! »
Tandis que je cherchais un moyen de ne pas y aller, le bus finit sa route et s’arrêta au lycée. Je descendais avec Clément et avant qu’il parte il lança :
« A vendredi vingt-huit à vingt heure alors. »
J’en restais bouche-bée : il prenait vraiment ses rêves pour la réalité.
« TU vas au bal avec CLEMENT ! T’écriais »
-Euh… Non, enfin si apparemment… »
La sonnerie mis fin à mes begayages.
« Tu me racontera à la cantine ! »
Tu m’embrassas puis fila et moi, je partis dans l’autre direction. Arrivée dans ma salle de cours, quelqu’un m’agressa :
« Alors comme ça, tu sors avec Clément ! »
Cette voix je la reconnu aussitôt, je n’eus même pas de besoin de regarder la personne qui se tenais à coter de moi : Antoine.
« Alors comme ça tu es jaloux ? Répliquai-je
-Répond à ma question !
-En quoi cela te regarde t’il ?
-Ca me regarde !
-Non, plus depuis deux mois !
-Deux mois et une semaine ! Précisa-t-il.
- Ah, tu as compté ? C’est bien mais je m’en fou !
-J’ai toujours regretté.
-Le passé est le passé.
-Bonjour, tout le monde. Antoine ! A ta place. S’exclama le professeur de français. »
Le cours commença et passa lentement. Toute la matinée, j’évitais Antoine et à l’heure du déjeuner j’étais ailleurs. Tu me parlais, parlais tandis que j’hochais de la tête juste pour que tu pense que je t'écoute.
Mais dès qu’il s’assied près de moi, que je sentis sa chaleur : je reviens à la réalité.
« Bon, j’ai finit : je vous laisse. A ce soir Alex. »
Tu m’embrassais puis t’en allais. Clément engagea la conversation.
« Désolé. »
Je l’interrogeais du regard.
« Je t’ai obligé d’aller au bal avec moi…
-Je suis ravie d’y allée avec toi et puis, tu avais raison : je n’ai personne »
Il sourit et je lui rendis. Alors qu’on sortait de la cantine, il me prit doucement la main mais ne ferma pas sa prise. Je le fis pour lui. Il me regarda et son sourire s’agrandit.
Puis quand la cloche sonna on se sépara. Je ne le vis plus de la fin de la journée, ni lui, ni Antoine, ni même toi. Je le cherchai dans le bus et quelqu’un m’agrippa : en quelques secondes je fus sur ses genoux.
Durant tout le trajet il me serra contre lui. Juste avant de s’en aller, il pressa ses lèvres contre les miennes et je sentis son souffle chaud contre mon visage. Je le regardai descendre puis chercha un cahier dans mon sac : j’y trouvai un mot !

Je t’aime fort et depuis longtemps
Clément

Je serrais le mot contre ma poitrine, songeuse puis je me résignai à prendre mon cahier de math. A la place de mon cours de la journée, il n’y avait que son prénom partout ! Je ne pus croire que c’était moi mais dès que j’écris clément à coter des autres je ne fus que obliger de me rendre à l’évidence que j’étais folle de lui !
Je descendis à mon arrêt et me retrouvai dans une ville déserte. Le bus me laissa là dans la ville vide. Pas un bruit, pas une personne. Toutes les maisons étaient fermées… Très glauque comme ambiance.
Je pris tout de même la route. Le bruit de mes chaussures résonnant dans la rue me fit un peu peur. Je sursautai : le vent venait de faire bouger un arbre.
Mais que ce passe t’il ?! Me demandais-je.
Comme tous les jours, je traversais devant la boulangerie.
« Alex ? »
Je me retournais et vu la boulangère qui continua de parler.
« Ne reste pas là, vas t’en ! Rentre vite chez toi !
-Quoi ? Mais pourquoi ?
-Ils sont à ta recherche !
-Mais qui ?
-Les … »
Il eut un blanc puis j’entendis un moteur lancé à fond. La boulangère hurla, je me retournai, vis une voiture bleu toute près de moi. Je m’envolai. Le soleil se rapprocha de mon visage, je le regardai pour la dernière fois. Je présentais la chute qui arriva trop vite à mon goût. Je savais que j’aurais le plus mal en tombant. Je pris de la vitesse, attirée vers le sol je tombais dans des bras ! J’ouvris les yeux et regardai :
Clément !
Lui qui habitait à 20 km de là, lui qui eu la force de me retenir, lui qui m’avais rendu folle.
« Clément. »
Il me regarda effrayé puis l’instant d’après j’étais sur la route et lui avait disparut. L’ambulance arriva, je l’entendais. J’essayai de me lever, en vain : ma tête tournai.
Je hurlai :
« Clément ! »
Mais seul le bruit de l’ambulance toujours plus près de moi me répondit.
Les ambulanciers me mirent sur un brancard, ils me montèrent dans l’ambulance et juste avant qu’il ferme la porte, j’entendis très distinctement :
« Je t’aime fort et depuis longtemps.
-Moi aussi, Murmurais-je.
-Je sais… Ca fait tellement longtemps que je t’attends. »
Puis je tombai dans un gouffre, le noir m’absorba tandis que ces derniers mots revenaient en boucle dans ma tête : « Ca fait tellement longtemps que je t’attends » »

Whouua !!

C'est super ! Jadore. ♥

J'attends la suite avec impatience. =)

Wiii ! Une première qui a eus le courage de tout lire !
Merci beaucoup. La suite est vraiment plus... Palpitante !

Youpii !
Elle arrivera vite ?! What a Face

Déjà écrite sur word, j'ai juste la flemme de faire la mise en page une fois envoyé : Word déforme le texte et il faut que je modifie beaucoup de choses une fois poster xD

Oki ! x')

Flemmarde ! =p

Je sais ! Mais je préfère laisser le suspense surtout que le III est écris mais au brouillon (je le fais en cours Razz

) et le IV commence à peine...

Ok ! (=

Moi aussi je les lus en entier. Bon je dois commenter ok!

Alors le début est bien mais sois je lisais vite sois c'est confus à la fin... J'ai pas encore compris au moment où une voiture blanche et bleu arrive c'était... une confusion..

Mais il est super continue comme sa et si la confusion est faite exprès et ben alors il est bien sauf que je trouve qui à trop de dialogues, je ne savais plus qui parler il faut que tu fasse attention à sa.

BON aller continue ton histoire, je crois que j'ai tous dis!

Lola!

Hello,
merci pour tes critiques. Il n'y a qu'une voiture bleue, je viens de vérifié ! hihi, tu as du lire trop vite. Le sujet est qu'elle a eu un accident : c'est bête et méchant mais c'est comme ça.

Merci pour ton conseil pour les dialogues : j'y ferais attention.

Je compte poster le chapitre II vendredi, jusque là : patience.

Ah ok ben j'attends vendredi pour la suite!
(C'est vraie que quand je lis je peut plus m'arrêter xD)

Comme promis, le chapitre II.

II

« Et c’est tout ce dont je mesouviens. »Finis-je.
Allongée sur mon lit d’hôpital depuisune semaine et quatre jours et réveillée depuis deux jours. Je peux bouger tousmes membres et j’en ai marre de ces murs trop blancs, de ce lit où je n’ai ledroit de sortir car les médecins se demandent comment j’ai pu survivre à cetaccident. Je suis clouée ici tous les jours, Clément n’est jamais venu etMarie, ma meilleure amie, vint d’arrivée. On est vendredi soir et elle a finitses cours. Je viens de lui raconter tous mon accident en passant sous silencele fait que Clément m’ai rattrapé.
« Je peux finir ton histoire situ veux.
-Oh oui ! »
Je souris et elle commence sonhistoire :
« En plein cours de soutiens demath, j’ai reçu un message : tu étais à l’hôpital. Je me suis ruée dehorset j’ai fait du Stop : je n’avais plus d’argent. Un homme vraiment bizarrema prise et amené à l’hôpital. J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps, tevoir comme ça, étendue dans se lit, sans vie. Mais tu parlais, turépétais : « Clément » et « Moi aussi ». Tout letemps, tes parents étaient là : avec toi. Je leurs conseilla d’allermanger le midi. Le temps de revenir dans ta chambre, il y avait quelqu’un à tonlit mais en quelques secondes il n’y avait personne. J’ai du avoir un mirage.
Ah oui, la police est venue :elle a fouillé ton casier. Mais juste avant j’ai pu prendre ce mot. La policen’en sait rien et je n’ai pas lu. Tu le veux ?
-Oui, oui merci. »
Je le pris puis le mis sous monoreiller : je le lirais plus tard.
« Clément est partit du lycée »
Mon cœur se déchire dans ma poitrinetandis que les larmes montent jusqu’à mes yeux. Au fond de moi, je sais que cemot est de Clément et que dedans il m’expliquera tout. Mais je ne peuxm’empêcher de lâcher une petite larme.
« Quand comptes tu revenir ?
- Lundi je serais de retourmais… »
Je suis coupée car deux hommesentrent dans ma chambre.
« Vous ne savez pasfrapper ? Demande-je durement
-Police fédérale. Nous avons desquestions à vous poser.
-Oh, désolée.
-Mademoiselle pouvez vous vous en aller ?
-Bien sur, répondis Marie. On se voitdemain Alex. »
Marie s’éclipse et je juge les deuxpoliciers : Le premier est brun, assez grand et carré d’épaule. Il a desyeux marrons foncé. Il a les trais de son visage durs et il porte une tuniquenoire.
Son acolyte est grand, svelte et noirde peau. Il a des yeux très noirs et portent une tunique bleue marine. Ilsme montrent leurs badges, bien que jen’y connaisse rien puis comme l’interrogatoire :
« De quoi vous souvenezvous ?
-Juste que j’ai eu un accident.
-Vous souvenez vous des visages desconducteurs ?
-Non mais il y avait une boulangèrequi a tout vu, c’était la seule qui était là.
-Bien, merci et bon rétablissement.
-Au revoir. »
Une fois seule, je prends le mot etle lis :
Alex,
Je sais qu’ils t’ont dit que j’étais parti. Mais je reviens pour le bal,comptes sur moi. Etre loin de toi me tuera à petit feu. Je t’aime et j’aidécidé de tout te raconter. Je le ferais au bal : mon passé, ma raison defuir…
Je vais aussi simuler notre rupture, je compte sur toi pour jouer le jeu,pour ta sécurité.
N’oublis jamais : je t’aime.
Clément.
Je lis encore plusieurs fois le motet le mets dans mon sac. Je n’ai qu’une hâte : le voir.
Comme prévu, je rentre chez moidimanche soir. Le lendemain au lycée j’ai l’impression d’être un animal defoire : tous le monde me regard. Ce fut la semaine la plus longue dema vie.
Je l’attends, je veux fuir avec luicar je sais que c’est mon âme sœur.
Quand enfin le jour tant attenduarrive, J’ai le cœur qui bat à mille à l’heure. Je ne suis pas en cours :je laisse libre cours à mon imagination.
Le soir, je me prépare pendant plusd’une heure : je veux être belle pour lui, aussi parfaite que lui. Jeregarde l’heure : vingt heures. Je suis fin prête et on sonne. Je dévaleles escaliers mais je ne suis pas assez rapide. Mes parents ont déjà ouvert laporte et son en train de lui parler.
Une fois en bas, je le vois : Ilest là, encore plus beau que dans un rêve et aussi beau que dans mes souvenirs.
« Je la ramènerai à vingt troisheures au plus tard. »
Il s’avance vers moi, me prends parla main puis nous sortons. Il a une mobylette rouge. Je monte, me serre contrelui et il démarre.
« Bon raconte moi tout !Commençais-je, impatiente.
-Pas tout de suite, je te dirais toutaprès la première danse.
-D’accord.
-Tu es magnifique ce soir.
-Merci. Toi aussi. »
Il rit.
« Je ne serais jamais commetoi. »
Et il se tu de toute la route.Heureusement, le voyage n’est pas long.
Dès qu’on arrive, je m’extasie, legymnase sert de salle de bal. Il est extrêmement bien décorer. Au fond, il y ale buffet et l’orchestre du collège. Il y a aussi un DJ. Mais L’orchestre entame un slow et enquelques secondes je me retrouve pendue à Clément emportée dans un slow.Tournant autour des gens que je ne vois plus : il n’y a plus que nousdeux.
Mais rapidement c’est déjà finit,malheureusement. Il m’engage dans une deuxième danse.
« Bon raconte moi toutmaintenant.
-Tout d’abord, je suis né en 2011.
-Tu as 100 ans ?!
-Oui. »

Et ba... !

C'est ce que l'on peut appellé ça une chute parfaite !!

Jadore ton style d'écriture. ♥

Merci beaucoup !! =)

♦_♦ Ouah! j'adore! il faut juste que tu espace des endroits. T'était inspis dis moi! Le deuxière est super au sinon je l'adore ^^

J'attend la suite!!

~~Flash: La guerre des clan va sortie !! :Flash~~

Bon... *Va vers une chaise et attend la suite ^^*

Bonjour,
Pour les espaces c'est comme j'ai fait copier/coller... Il y a un problème de mise en page.

Et la suite?

Oh ba oui la suite ! Vraiment désolée mais je n'ai pas trouvé le temps pour la tapper bien que j'ai finit l'histoire.
La voici :

III

« Le 2 Décembre 2011, on m’a réveillé. J’étais dans de l’eau mais je n’ai pas eus besoin de remonter pour respirer. Je respire dans l’eau. Je vis tous ces êtres en blouse blanche qui m’observaient et notaient. J’ai bougé et ai vu mes mains, puis mes jambes. J’étais très grand. Enfaite, c’était comme si tu avais mis un cerveau d’enfant dans un corps d’adulte. Tout de suite, j’eus envi de fuir ! Je tapais dans la vitre qui me tenait prisonnier et elle éclata. L’eau se déversa et je suivis le mouvement. Les personnes, scientifiques, furent étonnées de ma force puis alors que je courrais pour m’enfuir je sentis une piqûre entrée dans mon bras. Après avoir enfoncé la porte et avoir fait quelques pas je tombais dans un sommeil lourd et pénible.
Quand je m’éveillais, j’étais sur une table dure. Mon torse, mes bras, mes chevilles étaient sérés contre. Impossible de m’échapper. Ils me coupèrent un doigt, ce dernier repoussa. Ravis, ils s’amusèrent à me couper en plusieurs bouts. Dès le lendemain, ils me brûlaient avec de l’azote, me prirent du poumon, du foi, de cerveau. Ils l’utilisaient pour des personnes malades. Je souffrais, nuit et jour. Puis tu es arrivée. Tu étais infirmière et tu devais me nourrir. Tu as tout de suite compris que je souffrais tu t’es donc occupé de moi. Tu m’as appris à parler, sans l’accord des scientifiques. Plus le temps passait plus tu restais près de moi. Au final, nous avons échafaudé un plan et nous nous sommes enfuis. Tu m’as appris tes croyances, tu croyais en la réincarnation quand on le méritait.
Nous avons vécu quelques années ensemble mais un jour, tu t’es fait prendre. Je savais qu’ils t’avaient déjà tué. Je me suis enfuit en avion puis j’ai trouvé une île. Ensuite, j’ai su ! J’ai sus que tu étais revenue ! Ca faisait 82 ans que je t’attendais. Je suis rapidement revenu au pays et je ne t’ai cherché, je savais où tu étais. Puis je t’ai surveillé, protégé.
Mais je sais qu’ils, eux aussi, m’ont retrouvé. Et maintenant tu es en danger. Je dois partir pour te sauver la vie. Tu es en danger, ne l’oublis jamais.
-Pas sans moi. Murmure-je.
-Quoi ? S’exclame t-il.
-Je pars avec toi.
-Non, hors de question. »
Il me lâche puis s’écris !
« Lâche moi, je te déteste. Mais je suis fou ou quoi, Comment ais-je pus sortir avec toi ! »
Puis tout bas, il ajoute :
« Je t’aime. »
Il s’en va, les larmes me montent aux yeux. Je sors de la salle rapidement le visage baigné de larmes. Je ne pleure pas parce qu’il a fait semblant de rompre avec moi mais parce qu’il ne veut pas de moi avec lui pour nous en aller. Je rentre en bus et juste devant chez moi je vois une voiture de police. Mais toutes les lumières de la maison sont éteints. Ils ne sont donc pas là pour un problème dans la maison ni pour les autres- les autres maisons sont éteintes aussi.
« Tu es en danger ! » Je me rappelle ça dernière phrase.
Je me cache, et une main se plaque sur ma bouche. Alors que je m’ ‘apprête à « crier », je sens des lèvres chaudes s’appuyer sur mon cou. Outrée je me retourne et le vois. Il me prend dans ses bras. Après ce petit câlin, Clément me tend un sac et annonce
« Ton sac.
-On part ensemble ? Questionne ravie.
-Tu n’es même plus en sécurité chez toi, autant que tu partes avec moi.
-Cool. »
Il m’entraîne vers sa moto quand je l’arrête, je sorts mon téléphone et tape ce-ci ;
Chers parents,
Je dois m’en aller Je suis en danger et partir est la meilleure chose pour moi. Ne me cherchez pas. Je reviendrais peut être un jour.
Bonne continuation, pleins de bisous. Je vous aime.
Alex.
J’envois ce message et dès qu’il est passé, Clément jette, nos portables. Je me retourne pour voir une dernière fois ma maison. Une grande maison blanche avec un toit noir. Des buissons qui encadrent l’allée où la Peugeot noire de mes parents est garée. Je pense qu’il commence à s’impatienter alors, je le rejoins à sa moto mais d’une main ferme il m’arrête.
« Prends ton temps »
J’observe une dernière fois ma maison où tout le monde dort et ne sont encore au courant de rien.
« Je suis prête «
Je monte derrière lui sur la moto m’agrippe à son torse et il démarre tandis que je ravale mes larmes.
En faite, j’ai peur, peur du futur, peur qu’ils nous retrouvent et nous liquide. Mes je n’ai plus le temps de penser à cela, on s’engage à cent à l’heure sur l’autoroute,
A cent à l’heure dans mon futur, dans l’imprévu. Tout ce que je conçois, est que l’on va quitter le pays. Tout ce que je sais, est que je serais avec lui, toute ma vie.
A la vie, à la mort.

On s’arrête, pour dormir, à l’hôtel. On a du voyager pendant quatre bonnes heures examine-je. Après huit heures de sommeil bien mérité, on reprend la route. Malheureusement, il ne veut toujours pas donner le nom de notre destination
A quatre heures, on arrive dans un aérodrome. Je ne savais pas qu’il est pilote. Après une sieste d’une bonne heure, nous décollons après, sans avoir pris des précautions, avoir demandé la permission. Il me passe un verre d’eau et naïve comme je suis, je le bois. Quelques minutes après l’avoir bu, je tombe de sommeil. Un lourd sommeil.
Dès que je me réveille, je regarde l’heure : trois heures du matin.
« Elle n’est pas à l’heure. Annonce Clément comme un bonjour.
-Ah bon ? Demande-je
-Oui, elle est encore réglée horaire belge Il est encore vingt deux heures là-bas.
-Mais où va-t-on ? Requête-je.
-Prends ces sacs. »
Il change de sujet ne voulant toujours pas me dire où on va et pointe deux sacs côté à côté.
« Le premier est pour toi, et si tu pouvais me mettre le deuxième ce serait sympa. Continue-t-il.
-Qu’est ce que c’est ?
-Des parachutes ! »
Un grand sourire se dessine sur son visage tandis qu’il me fait un clin d’œil.

Je suis F A N de cette fiction. *w*

Bravo. ♥

♦ ♦ OuHa!!!

J'adore!

^^

Hum, vous êtes tellement enthousiastes que je penses mettre bientôt, très, la suite. Patience !

Une suite un peu triste pour notre héroïne.

IV

Mal à l’aise, je mets le mien en priant pour qu’il soit bien mis puis aide Clément à mettre le sien tout en refaisant ma prière. Un voyant, sur le tableau de bord, s’allume indiquant qu’il n’y a plus d’essence. Je comprends, il veut nous faire passer pour mort ! Il lâche la barre et ouvre la porte. L’air, glacé, de l’extérieur vint me gifler le visage tandis qu’une peur atroce me tord l’estomac.
Il prend les autres sacs, prend ma main et s’avance vers la sortie mais s’oppose à ma résistance.
« Si tu reste ici, tu meurs. Si tu viens avec moi, tu vis. Fait vite ton choix. »
Rien que cette phrase me fait prendre conscience et je saute avec lui dans le vide. Puis, après avoir plongé dans le ciel et avoir descendu quelques mètres, il tire deux ficelles, pendante, de mon parachute et ce dernier s’ouvre. Il fait de même pour lui mais rien de ne se passe.
« Non !! » Cris je.
Je prie intérieurement et soudain, comme pas magie, son parachute s’ouvre. Enfin soulagée, je me permets de contempler le paysage qui s’offre à mes yeux. Je distingue un point qui à fur et à mesure qu’on se rapproche de la terre, s’agrandit. Au loin, l’avion s’enfonce dans la mer symbolisant la fin de ma petite vie tranquille. Je regarde le ciel bleu, pur, le soleil rayonnant. Dans ce beau tableau, seuls maquent les nuages. Puis finalement mon regard se dirige vers la mer. Je distingue trois nuances de bleus : Un bleu turquoise : le lagon de l’île, un bleu « normal » : la mer et un bleu marine : les endroits où la mer est beaucoup plus profonde.
Au bout d’un certain temps de « vole », on finit notre descente, Clément sur le sable et moi dans l’eau. Cette dernière m’arrive jusqu’à la taille. Elle est translucide, très chaude et je me délecte longuement de cette chaleur. Je sens que je vais me plaire ici. Quelques courageux poissons viennent à la découverte. Mais dès que je fais un pas, ils renoncent et s’en vont à toute vitesse. Je remonte de l’eau puis touche enfin le sable brûlant. Il me prend la main puis m’accompagne vers sa noble demeure.
Cette dernière ressemble à une hutte mais en beaucoup plus moderne. Sur le toit, se trouve des panneaux solaires permettant ‘avoir de l’électricité, plus loin, il y a un puits pour l’eau. Nous entrons directement sur la cuisine avec bar américain et salon. Il prend une bouteille du frigo et nous sert. Je l’en remercie puis me fais visiter le reste de la maison. Après le salon, il y a deux chambres. Je comprends tout de suite que l’on va faire chambre a part. J’en suis rassurée et déçu en même temps. Rassurée car il ne passera rien, pas encore du moins, et déçu car je sais que j’ai beaucoup besoin de son soutient. Ensuite, la salle de bain. Je rentre dedans, met mon maillot de bain puis part en vers la plage tandis qu’il se met au fourneau.
Je suis stoppée dans mon élan quand une main m’attrape le bras.
« Bonjour. S’exclame l’inconnu. »
De peur, je me débats mais il ne semble même pas sentir ma résistance.
« Tu dois être Diana. Continue-t-il.
-Heu… Non…
-Ah »
Doucement il referme durement sa prise. Je ne sens plus le sang couler dans mon bras, je hurle.
« Lâche la maintenant Thomas ! C’est Diana. »
L’inconnu, nommé Thomas, me lâche d’un coup, une expression terrorisée se dessinant sur son visage.
« Je suis vraiment, vraiment, vraiment désolée. S’adressant à moi puis à Clément. Je ne savais pas, je croyais que c’était eux.
-T’inquiète pas. »
Thomas s’en va, s’assois sur le sable, replis ses genoux et met sa tête dedans. Il est blond foncé, les cheveux mi-long, un bandeau entoure son crâne tandis que quelques mèches rebellent retombent sur son visage. Il est très grand, comme Clément, et est très musclé : il ne porte pas de chemise.
J’examine mon bras : il est violé à l’endroit où Thomas a fermé sa prise. Les doigts de Clément massent mon bras. Je lui enlève sa mais et prend la relève. Il va voir Thomas et le console. Je me lève et m’assois dans la douceur de l’eau. Les deux hommes ont finit de parler, je ne les vois pas mais n’entends plus leurs chuchotements. Doucement, Thomas s’approche de moi, il pose ses mains douces sur mon hématome et ce dernier ce résorbe
Voyant mon air déconfit, il s’exclame :
« Je suis sûr qu’il y a beaucoup de choses que tu ignores sur nous. »
Il plonge la tête sous l’eau et y reste, 20 secondes, 30, 40, Une minute. Paniquée, croyant qu’il était mort, je lui tire la tête de l’eau. Il s’éclaffe. Il me prend délicatement le bras puis m’amène nager avec de magnifiques poissons tropicaux.
Malheureusement, dès qu’on revient à la maison, Clément est là, les bras croisés, énervé.
« Je peux savoir où vous étiez passé ?
-C’est de ma faute, me défend Thomas, on était allé nager avec les poissons et on a vu les récifs…
-On mange ! Coupe brutalement Clément.
On s’assit et passe le repas dans un silence de mort. Pourtant nous n’avions rien fait de mal. Je ne comprends pas pourquoi Clément le prend aussi mal. Affamée, je ne fais qu’une bouchée du plat, bien que j’aie en horreur le poisson.
Les journées passent : nous vivons au jour le jour. Plus le temps passe, plus j’apprécie la compagnie que Thomas me procure. Nous passons nos journées dans l’eau avec les poissons.
Puis, c’est enfin arrivé : notre premier « baiser ». Je m’en souviendrais toute ma vie.
« Alors qu’on était assis dans l’eau comme chaque matinée, il proposa :
-Ca te dirait de plonger ?
-Oui, mais nous n’avons pas d’équipement.
-Viens et fais-moi confiance.
Il me prit la main comme à son habitude quand il veut m’entraîner dans l’eau et m’entraîna nager avec lui. Puis, lorsque l’eau fut plus profonde, il plongea. Je ne pus que suivre le mouvement. Il posa ma main, toujours prisonnière dans la sienne, sur un poisson clown, ce dernier s’enfuyait rapidement sous le contact. Devant moi se dressait une sorte de falaise d’où les poissons et les végétaux aquatiques avaient élus domicile. Les poissons nageaient complètement parmi nous, sans vraiment ce soucier de qui on était.
« Quand le manque d’oxygène se fit sentir, je lui fis signe de remonter, mais au lieu de me tirer vers la surface, il me sera contre lui et plaqua sa bouche contre la mienne. Il souffla et l’air me gonfla les poumons Puis on continua de descendre toujours plus profondément. Bien sur, on recommença ce petit manège mainte et mainte fois. Et on approcha un requin, inoffensif, et j’aperçue même des dauphins au loin. On rentra juste à temps pour le dîner. Et clément me reprocha que je me rapprochais beaucoup de Thomas. »
Je ferme les yeux pour garder les images de sous la mer en mémoire : j’ai peur qu’elles s’effacent.
Une main m’enlace la hanche et je me retourne pour l’embrasser. Alors que je desserre de l’étreinte, je me rends compte avec embarras, énervement et joie (petite mais là quand même) que ce n’est pas Clément qui se dresse devant moi mais bien son meilleur ami.
« Thomas ?! Je suis désolée. Je pensais que c’était Clément et …
-Ce n’est pas grave. Me coupe-t-il.
-Mais.
-Chut »
Et il replonge ses lèvres sur les miennes. Ma conscience me dit de l’arrêter, de m’enfuir à toute vitesse tandis que le cœur veut ce baiser. Le cœur l’emporte sur la raison pendant ne serais-se que quelques secondes, assez de temps pour que mes mains se fourrent dans ses cheveux et rapproche sa tête contre la mienne. Puis la raison reprend le dessus et je m’enfuis en courant. Assise seule sur le sable, je prends conscience de mes actes.
« Désolée, désolée, désolée. Murmuré-je en répétition.
-Pourquoi ? Demande simplement Thomas.
-Clément répondis je seulement. »
Juste ce nom fis prendre conscience à Thomas ce qu’il s’était passé et il se lève et s’en va sans un mot.
« Non, cris-je intérieurement »
Mais je ne peux le retenir, je suis déjà promise à un autre, un homme idéal qui, pourtant, égale Thomas.

Super tu fais de bon chapitre j'aime ^^

Merci. La suite est vraiment très triste.

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